Orthographes trouvées dans les registres paroissiaux ou d'Etat-Civil :

MONTMESSIN - MONMESSIN - MOMMESSIN - MOMESSIN

Article Crée le 24 Août 2012

Souche dans la région de Amanzé , Colombier-en-Brionnais et Bois-Sainte-Marie avec des personnages attestés entre 1500 et 1600

Couples ancêtres dans les BMS localisés au hameau de "Le Carrouge" à AMANZE entre 1530 et 1600 : Pierre MONTMESSIN et Claudine DELORME, parents de Jean MONTMESSIN epx de Françoise ROUSSET, et gd-parents de Catherin MONTMESSIN epx de Anne DUMONT

Personnages sans doute alliés à ceux localisés au hameau de "Les Leurres" en la paroisse de COLOMBIER-EN-BRIONNAIS entre 1565 et 1625 : Jean MONTMESSIN et Catherine MONTROCHER, parents au moins de Mathieu MONTMESSIN, epx de Catherine LESCHALLIER et de Pierre MONTMESSIN et de Adrienne CORNELOUP.

Aussi Marcelin de MONTMESSIN, Procureur Royal en la Chatellenie de Bois-Sainte-Marie entre 1575 et 1590, epoux de Pierrette de MAZILLE, fille de Jean de MAZILLE, Seigneur de "Vaubresson" à Gibles.

Famille de la Grande Bourgeoise Terrienne Marchands Laboureurs propriétaires du Brionnais, mais aussi Bourgeoise Citadine de Bois-Sainte-Marie (Paroisse beaucoup plus importante entre le 16iè et le 18iè siècle, Chef-lieu de Baillage) tenat des Charges de fonctionnaires royales.

Principaux foyers installés à AMANZE, COLOMBIER-EN-BRIONNAIS, BOIS-SAINTE-MARIE, PRIZY, CHANGY, SAINT-JULIEN-DE-CIVRY et LUGNY-LES-CHAROLLES

L'hypothèse peut-être faite que les MONTMESSIN puissent être issus du village de MONTMEGIN, devenu depuis le 19iè siècle hameau dépendant de la commune de SEMUR-EN-BRIONNAIS.

Les patois parlés en Pays Charolais et Brionnais pourraient peut-être expliquer le passage d'un vocable "de Mom'zin" vers une écriture (par les prêtres dans les registres paroissaiux) de "Montmezin", puis "Montmesin" et "Montmessin"

Il existait par ailleurs une famille noble dite "de MONTMEGIN"

Ainsi entre 1250 et 1350, on note Guillaume de MONTMEGIN, seigneur de MONTMEGIN, fils de Perrin de MONTMEGIN, tous deux Escuyers et Seigneurs du dit-lieu. Une branche de MONTMEGIN subsiste en Beaujolais au 16ième. Mais les de MONTMEGIN "s'évanouissent" en Brionnais puisque aucun personnage porteur de ce patronyme n'y est repéré au 17iè et 18iè siècles. On peut y voir, comme une explication possible, la conversion du nom de famille de "MONTMEGIN" vers "MONTMESSIN"