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Nos coordonnées

Lion d'Azur Généalogie

Patrick BOUILLON
Domaine Le Pré de La Serve

Le Bourg du Village

71120 LUGNY-LES-CHAROLLES

Téléphone : 03 85 88 37 15

 

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Site mis en ligne en Janvier 2012

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Notre maison est ouverte toute l'année.

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Actualités

NOUVEAUTE Avril 2014 !

 

Mise en Ligne du Site de La Commune de LUGNY-LES-CHAROLLES

 

www.lugny-les-charolles.net

 

en tant que Nouveau Maire de La Commune

Un super Papy du 17iè siècle :

Grand-Père de 82 Petit-Enfants

A tout seigneur tout honneur, l'une des anecdotes généalogiques de ce site web concerne un membre de ma ligne directe agnatique qui détient encore à ce jour après plus de 20 ans de recherche un record dans sa catégorie :

Mon ancêtre en ligne directe à  la 10iè génération s'appelle Vincent BOUILLON.

 

Vincent BOUILLON est le dernier-né d'une fratrie de 10 enfants.

Ces parents Benoit BOUILLON et Benoite PAPILLON, se sont mariés en 1646 à DYO.

 

Ils ont donné naissance à Jean en 1646, Benoite (1iè du nom) en 1647, Louis (1iè du nom) en 1649,  Marie (en 1651), Benoite (2iè du nom) en 1652, Françoise en 1654, Hector en 1656, André en 1658, Louise (2iè du nom) en 1660 et enfin le petit Vincent en 1661.

 

5 de ces enfants meurent en très bas âge et les 4 autres mourront adolescents la même année 1669, comme leur deux parents Benoit BOUILLON et Benoite PAPILLON, sans doute tous emportés par la même épidémie.

 

Vincent BOUILLON, seul survivant de sa lignée, reste donc orphelin à 8 ans.

Il sera élévé par ses oncle et tante, Jean BOUILLON et Etiennette DUBREUIL, de LUGNY-LES-CHAROLLES, et qui s'installent ensuite à DYO.

 

Jean BOUILLON et Etiennette BOUILLON ont de leur coté 6 filles mais aucun garcon qui atteigne l'age adulte.

 

Après avoir dréssé la totalité de son arbre en tant que généalogiste amateur, je comprends alors que la survivance du patronyme BOUILLON en Pays Charolais, n'est dû qu'à celle de ce petit Vincent BOUILLON qui a 8 ans, s'est accroché à son destin, alors que toute sa famille fût terrassée la même année, et que toutes les autres branches collarétales BOUILLON n'ont engendrés aucun autre cousin mâle.

  

Vincent BOUILLON, devenu adulte, épouse Jeanne BONNOT à Vaudebarrier en 1682. Il hérite de tous les biens de sa branche et il est Marchand Laboureur comme ces ancêtres et réside au hameau de "Le Dard" à Dyo.

 

Vincent BOUILLON et Jeanne BONNOT eurent entre 1682 et 1707, au moins 13 naissances avérées, parmi lesquelles 8 enfants survécurent et fondèrent à leur tour un ou plusieurs foyers.

 

Et comme un pied-de-nez au destin, Vincent BOUILLON et Jeanne BONNOT auront  un nombre total attesté de petits-enfants de 82 !

 

Ainsi Vincent BOUILLON, après avoir été le dernier survivant de sa lignée à 8 ans, est devenu le super Pappy de ma base de données GenCHARO !. Sans oubliez Jeanne BONNOT qui en est la Super Mammy...